YOU'RE THE BEAST IN ME
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.



 
AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
Le deal à ne pas rater :
Pokémon EV06 : où acheter le Bundle Lot 6 Boosters Mascarade ...
Voir le deal

Partagez|

Parla più piano e nessuno sentira ♪ ▬ G. Ricci [1/1]

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas
AuteurMessage

It's just me;
Invité
Invité



Parla più piano e nessuno sentira ♪ ▬ G. Ricci [1/1] Vide
MessageSujet: Parla più piano e nessuno sentira ♪ ▬ G. Ricci [1/1] Parla più piano e nessuno sentira ♪ ▬ G. Ricci [1/1] EmptyDim 21 Nov - 3:20


Parla più piano e nessuno sentira ♪ ▬ G. Ricci [1/1] Qxnb4n10

« parla più piano e nessuno sentira »
1/1 libre






Tout d'abord, sachez que je serai éternellement esclave du très généreux rôliste plein de bonté qui choisira ce scenario. Il est d'une importance capitale pour les intrigues de mon personnage, comme vous vous en doutez >< Sans Mary, pas de Galeazzo...

Donc. Passons aux choses sérieuses. Pour ce qui est de la théorie, le deuxième prénom est totalement négociable, ainsi que certains passages de l'histoire, s'ils ne vous plaisent vraiment pas. L'avatar, quant à lui, est très difficilement négociable, mais vous pouvez toujours tenter. (En considérant le fait que la célébrité que vous me proposerez devra impérativement être blonde et avoir un style très français, dans le genre de la haute-couture parisienne.)
En ce qui concerne la pratique. Si vous souhaitez incarner ce scenario (et Dieu seul sait combien je vous en serais reconnaissant), j'aimerais que vous ayez un bon niveau de rp ; c'est-à-dire : que vos posts aient au moins du contenu. Vous devrez aussi soigner votre orthographe et avoir une bonne maîtrise de la langue française, juste histoire que vos rps soient lisibles... Ça ne me plairait pas d'avoir à vous déchiffrer pour vous répondre. (est puit aussi timagine un truck de 40 ligne écrite comme sa ? 00')

Je souhaiterais aussi une forte activité de votre part sur le forum, c'est-à-dire : évitez d'être là seulement une ou deux fois par semaine : ça ne me fera pas avancer, bien au contraire u___u Ensuite, sachez que je m'octroie le droit de vous imposer un test rp si je doute de vos capacités en lisant votre présentation, ou de refuser de vous valider si vous ne répondez pas à mes attentes x) (C'est sadique mais j'ai pas d'autre moyen)
Pour clore ces ennuyeuses et assommantes (j'en conviens) conditions, je vous rappelle que ma boîte MP vous est totalement ouverte pour toute question ou requête, quelle qu'elle soit =D Encore merci au dieu qui prendra mon scena.

NB : J'ai l'air difficile et implacable, vu comme ça, mais c'est pas le cas. Je suis sûr que vous êtes totalement capable de jouer ce personnage, qui que vous soyez :3 Et, non, je ne cherche pas du tout à vous soudoyer par messages subliminaux ~





Dernière édition par Galeazzo A. Ricci le Jeu 25 Nov - 22:59, édité 7 fois
Revenir en haut Aller en bas

It's just me;
Invité
Invité



Parla più piano e nessuno sentira ♪ ▬ G. Ricci [1/1] Vide
MessageSujet: Re: Parla più piano e nessuno sentira ♪ ▬ G. Ricci [1/1] Parla più piano e nessuno sentira ♪ ▬ G. Ricci [1/1] EmptyDim 21 Nov - 3:21

♣ Mary, Euphrasia Gautier
137 ans ♣ Française ♣ Dite "végétarienne" ♣ Vampire ♣ LIBRE
feat. Clémence Poésy


    HISTOIRE
    ● Mary, Euphrasia, Louise Gautier voit le jour un froid matin de Décembre 1873, à Servon, France.

    ● Dès la naissance, elle est accueillie comme une princesse : ses parents ne l'attendaient plus. Tout lui sourit : un père militaire, un officier subalterne. Une mère d'une beauté à faire pâlir de jalousie Aphrodite elle-même. Petit manoir dans la prairie. Lit en baldaquin. Domestiques. Robes de haute-couture pour un petit corps de porcelaine. Belle gueule de jeune sylphide toute fraîche, visage fardé d'insouciance, de jeunesse et de santé.

    ● Sa mère s'appelle Louise Gautier. Elle est douce. Elle est belle et aimante, chaleureuse, patiente mais bientôt vieille. Elle élève sa fille presque seule, puisque Monsieur Gautier travaille beaucoup, et l'incite très vite au culte de la comédie, du théâtre, Racine, Sénèque, Corneille. Toutes deux s'aiment plus que tout au monde, et les jours s'écoulent dans le bonheur d'une vie bien définie, la beauté de l'existence – un conte de fées.

    ● Puis – le conte de fées chute dans la dure réalité. Monsieur Gautier se met à boire et à battre sa femme, qui perd peu à peu goût à la vie. Mary sait ce qui se passe, elle entend la violence de ces actes presque chaque soir. C'est dans sa tête qu'une souffrance silencieuse hurle. Sa seule issue : la lecture de ses si chères comédies, tragédies, qui la tirent un peu de cet enfer, cette chienne de vie.

    ● Puis un jour – Monsieur Gautier monte en grade. Trop pris par son travail, il rentre rarement à la maison. Et la demeure des Gautier tombe dans une torpeur lugubre, le calme après la tempête. Mais maman est désertée. Bouleversée. Bafouée. Elle a perdu goût à la vie. Plus rien, désormais, ne semble plus pouvoir la faire sourire. Elle se sent trahie, humiliée par cet époux indigne. Même Mary devient invisible à ses yeux. Son existence ne se résume plus qu'à demeurer une femme battue comme il y en a tant ; elle ne vit plus que dans l'attente des coups et des injures.

    ● Et puis – maman renaît. Silencieusement, doucement. Cela vient petit à petit : un sourire ici, une lueur espiègle dans l'œil par-là. Mary comprend alors. Un peu de fard par-ci, une mouche coquette par-là. Du parfum ici, des épingles dans les boucles dorées là. Et elle franchit le pas de la porte, s'absente des soirées entières, conviée au théâtre, à des bals, à Versailles, des expositions, des salons... Maman belle. Maman douce. Maman rieuse. Maman heureuse.
    Maman amoureuse.

    ● Tournant fatal. Amoureuse de qui ? De Monsieur l'Inconnu, peut-être. Une ombre, cette silhouette sombre, sans visage, dans l'encadrement de la porte, ce dos inconnu cette main chaleureuse et dominante, dans le creux des reins, l'étranger ; peut-être aventurier, peut-être écrivain, peut-être trésorier, peut-être officier ; l'homme sans visage que Mary guette aux heures précises qui deviennent une habitude, que Mary suit tandis qu'il monte l'escalier, le bras autour de la taille de maman, que Mary traque, alors qu'il referme derrière lui la porte des appartements de Louise ; elle le sait, c'est l'amant. L'amour interdit, illégal. La passion délicieuse, l'homme sans visage.
    Et tout comme maman, Mary vit l'horloge réglée au son de son poing contre la porte, ses pas, ses promesses de retrouvailles aux heures habituelles. Cet ectoplasme devient l'axe de leur vie, l'épaule sur laquelle s'appuyer, la branche à laquelle se cramponner. Toutes deux ne vivent bientôt plus que pour lui, chacune à leur façon et pour leurs raisons.

    ● Et – replongeon dans la spirale descendante. Un an. Il sera resté un an, l'homme sans visage, l'inconnu, le soupirant secret. Rupture brutale. Maman – plus qu'un fantôme qui erre dans les couloirs d'une sombre demeure, attendant les coups d'un officier ivre auquel l'amant fut caché, sans le sourire, sans un rire, la forcé que lui insufflait cet amoureux. Mary ne fait même plus partie du monde dans lequel elle semble s'enfermer, la spirale dans laquelle elle est confinée.

    ● Quelques semaines passent – Maman malade. Poussière dans le vent. Et – 3 mois plus tard. Maman, Louise, Madame Gautier, cette femme délaissée par l'amant – mortes. Mary, impassible. Elle est seulement obsédée par la même personne, le même rythme de pas.

    Pourquoi n'est-il pas resté ? l'amant, le traître.

    ● 1 mois. Monsieur Gautier, mort sur le champ de bataille. On confit Mary à un duc ; il sera son tuteur.

    ● Mary grandit. 16 ans. Elle est belle, elle est douce et gracieuse. Toujours loyale à son amour pour le théâtre. Fidèle copie de sa mère. À en perdre la raison, tant elle lui ressemble. Mary est moins belle, peut-être, mais l'essentiel est là. Elle grandit en essayant d'oublier la peine, et de ne garder que les bons souvenirs – Mary soleil, Mary incapable du pire.
    Sa vie bascule un soir de bal. Alors qu'elle crève d'ennui au milieu des soupirants, du peuple qui se prend pour la noblesse et parmi sa cour de jeunes filles qui ne jurent que par les hommes, son regard croise l'apollonique. Elle reste bouche bée et fascinée. Elle ne parvient pas à le quitter des yeux. Elle n'a jamais vu telle beauté, ce mélange de passion, de charme et d'animalité, une ébauche d'homme où il y a de tout. Un peu de fantaisie, un peu de mélancolie et puis de l'ardeur. Elle se renseigne. Son tuteur lui apprend que son nom est Galeazzo Ricci, un italien, adjudant-major à l'armée française.
    Quand son regard croise celui de l'homme, elle s'attend au coup de foudre ; mais il semble plus surpris, voire choqué qu'autre chose. Il a les yeux du lion qui vient de se faire mordre par une gazelle. Puis il reprend contenance, s'approche, propose son bras à l'héritière Gautier, que toutes les femmes de la salle âgées de 14 à 40 ans jalousent alors, et l'entraîne dans une valse qui l'empêche tout bonnement de penser. Tête vide d'une jeune femme fascinée, foudroyée par les flèches de Cupidon. Après cette danse, ils s'attardent sur le balcon de la grande demeure, seuls, et discutent de tout et de rien, de choses futiles, ces quelques mots qui font qu'on en apprend un peu plus sur l'autre. Ce qui laisse l'occasion à Mary de remarquer que son bel ami est peu loquace, mais qu'il l'écoute avec une incroyable attention. Pendant leur discussion, des sentiments contradictoires s'agitent en elle – tout chez lui et magnifique et hypnotisant : son visage, sa voix, la passion dans son regard, ses gestes, sa façon de tirer sur sa cigarette et d'expirer la fumée dans la nuit, nez au vent, en fermant les yeux. Elle remarque également combien elle semble le troubler. Ils se quittent une heure plus tard, Mary sur sa faim, désireuse comme personne de le revoir.

    ● Après ce soir-là, l'héritière Gautier ne revoit plus son adonis pendant un mois. Son tuteur, avec qui elle entretient une relation très fusionnelle, comme un père et sa fille, lui en parle souvent : il pense que c'est un beau parti pour elle et projette de l'inviter à souper, un soir : il a remarqué combien sa pupille a été bouleversée par cette rencontre, elle qui a toujours repoussé tous les hommes, et pas des moindres.

    ● Il met alors ses idées à l'œuvre, et c'est ainsi, lors d'un dîner, que la passion prend vie et feu, chez l'une comme chez l'autre. L'adonis fait très bonne impression – le duc ne voit en lui aucun défaut, et se laisse aussi charmer par son délicieux accent de rital. Ricci sait tout de l'amour de Mary pour le théâtre, et l'invite donc, à la fin, à aller voir Phèdre de Racine, trois jours plus tard. Ce à quoi la jeune femme ne dirait jamais non.

    ● Ce soir marque le début de la passion. Ils ne se touchent pas, ne s'embrassent même pas ; ne se font ni promesses ni mots d'amour. Mais le fait qu'ils sont destinés leur est évident, pour l'une comme pour l'autre. Mary ne se voit pas vivre avec un autre homme que lui, et elle sait bien que même s'il n'en dit rien, Galeazzo l'adore quand même. Elle espère secrètement qu'il finira par la demander en mariage. Même si elle ne le connait pas vraiment, même si cela fait seulement un ou deux mois qu'ils se connaissent. Car il est peut-être ce qu'on appelle une âme sœur ?

    ● À la fin de la représentation, Mary est totalement conquise et obsédée par l'adjudant. Mais ses fonctions le rappellent à l'ordre, et avant de la laisser, Galeazzo lui apprend qu'il doit partir sur le champ de bataille dans 2 jours. Mary – désespérée. Elle sait que cela signifie peut-être qu'elle ne le reverra plus jamais. Elle le supplie de rester mais il n'y peut rien, promet qu'ils se reverront un jour – même si cela doit signifier 70 ans.

    ● Les jours passent, les mois, les années. Mary tombe dans une sorte d'apathie.

    ● Elle a 21 ans et ce soir-là, sa vie prend un nouveau tournant : elle se fait mordre par un homme alors qu'elle se promène seule au bord d'un lac. Elle agonise ; elle souffre, succombe. Lorsqu'elle se réveille et qu'elle se jette sur le gentleman qui tente de l'aide à se relever et s'abreuve de son sang, elle comprend ce qu'elle est devenue. Elle prend peur. Elle quitte alors le domicile de son tuteur et se fait toute petite, parmi la foule et le bas peuple. Mademoiselle Gautier, la bourgeoise dont la famille est des plus respectables, qui fréquente les endroits les plus luxueux, apathique depuis quelques années pour on ne sait quelle raison – morte. Mais elle apprend bien vite à se nourrir du sang d'animal, elle qui répugnait à sa nature, et reprend un peu espoir. Chaque jour, pendant 4 ans, elle guette encore la demeure de Monsieur le duc dans l'espoir de voir arriver son adonis, mais elle finit par s'y faire : Galeazzo ne reviendra pas. Jamais.

    Et elle doit apprendre à enterrer son cœur. Puisqu'elle le sait, elle ne pourra jamais aimer un autre homme autant qu'elle l'a adoré lui.

    ● Mary change alors du tout au tout. Elle devient impassible et placide ; la vie coule sur son corps sans la toucher. Elle pense, respire, mange, bouge mais elle est morte. Elle perd totalement goût à la vie, mais ne devient pas pour autant apathique. Elle reste toujours aussi belle et amène, mais le silence, le désespoir de la personne qui n'attend plus rien de l'existence sont dans sa tête.

    ● Nous sommes en 1899 et Mary choisit de devenir une femme de lettres. Elle reste pendant 10 ans à l'Académie de Paris et étudie sans relâche le théâtre. Mais tout n'est que théorie. En 1910, elle se lance dans les romans et écrit sous un pseudonyme masculin des nouvelles sans grande importance ni éloquence, mais d'une grande beauté. Son réel talent est indéniable. Elle se fait longtemps aider financièrement par un marquis rencontré dans un salon littéraire ; mais elle n'en peut plus de cette situation. Ce n'est pas ce qu'elle veut. Si elle aime bien l'écriture, elle n'en a jamais rêvé.

    ● En 1922, alors que la Première Guerre Mondiale s'est enfin terminée sans qu'elle en soit affectée, Mary découvre la fortune que lui a légué son tuteur à son décès. Les souvenirs refont alors surface, et elle pense à sa vie d'avant, le duc, ses amies, maman, Galeazzo. Elle reste une plaie béante à son cœur. Surtout Galeazzo, dont elle n'ose même plus prononcer le nom. Elle tente d'ignorer la douleur que sa mort lui cause mais elle ne parvient à l'effacer. Elle n'espère désormais plus rien.

    ● Pendant des années, elle profite de sa fortune pour se reposer et ne faire que lire des pièces de théâtre et regarder des comédiens amateurs improviser devant les bords de la Seine. Elle finit par s'intéresser à la musique et apprend à jouer du piano et de la guitare.

    ● Vers 1940, elle embrasse à son tour une carrière de comédienne. Elle frappe aux portes sans relâche, mais elle n'obtient, à chaque fois, que des rôles mineurs. Mais c'est en 1944 que Jean Anouilh la remarque et lui propose le rôle principal de sa pièce Antigone. Elle accepte, et joue la première représentation sous un pseudonyme d'artiste. C'est un succès. Deux représentations ont lieu, puis quatre, puis six. Elle joue soir après soir et ses soucis s'envolent. Elle n'a plus assez de temps pour penser à sa vie passée. Mais c'est lors de la septième et dernière représentation que tout change. Elle est la dernière à partir. Elle s'est dévêtue dans les coulisses et travers la salle déserte, zigzague entre les travées de fauteuils rouges. Et c'est là qu'elle le voit.

    Lui. Galeazzo.

    L'ombre dans une posture négligée mais toujours aussi classe, la silhouette aux épaules carrées, à la souplesse féline, cigarette éteinte en main. Elle lui brûle les doigts, Mary le sait – il n'attendait qu'elle pour pouvoir enfin sortir et l'allumer. Alors la belle s'approche. Doucement, silencieusement. Elle l'observe à la lueur tamisée des lampes jaunies, sa face régulière, son profil de roi. C'est toujours le même. Rien, absolument rien n'a changé chez lui. Elle comprend alors, et il lui sourit. Comme une promesse. Comme s'il était en train de lui jurer qu'il ne la quitterait plus jamais.

    ● Ils s'installent alors ensemble dans un petit appartement, près de Notre-Dame de Paris, et la vie devient subitement merveilleuse aux yeux de Mary. Elle s'habitue à ses inepties, ses non-dits ; ses monosyllabes, surtout, ses délicieux silences dans l'amour. Elle supporte cette façon qu'il a de toujours fuir les hommes, et parvient à le reconvertir au végétarisme. Elle aimerait l'épouser, mais elle ne lui en dit rien. Il ne le supporterait pas, elle le sait, et c'est très bien comme ça. Elle continue le théâtre, mais retombe dans l'oubli. On lui donne à nouveau de grands rôles mais dans de petites pièces. Et c'est toujours aussi bien : maintenant qu'elle a retrouvé ce qui comptait le plus à ses yeux, pourquoi s'en faire ?

    ● En 2009, Mary sature de cette situation. Elle veut du changement. Et c'est dans ses bras, toute penaude et désespérée, qu'elle expose à Galeazzo combien elle aimerait devenir actrice, ou grande comédienne reconnue, mais que ce n'est sûrement pas en France qu'elle y arrivera. Elle veut partir ailleurs, loin, dans un autre pays. Et à peine a-t-elle fini sa phrase que Galeazzo commence à partir à pieds, dans le froid mordant de la nuit, sa belle sur ses talons.

    ● Ils remontent vers le Danemark, la Finlande, la Hollande, traversent les mers en bateau et arrivent en Arctique. Ils traversent l'Alaska et parviennent au Canada en 2010. Ils s'installent alors à Glenhow, petite ville méconnue, dans une belle maison de couple bien heureux. Mary se met à écumer les journaux pour trouver des annonces dans le théâtre, le cinéma et en même temps, se concentre sur la musique et créé ses propres chansons. Elle se présente à des auditions, qui sont toujours annulées ou complètes quand elle arrive, mais elle ne désespère pas. Elle y arrivera, elle le sait. Car après tout, tout va bien. Rien ne pourrait nuire à son bonheur, sauf une éventuelle rupture avec Galeazzo, qui semble menacer, au loin, elle le sait – on n'empêche pas un vagabond de vagabonder, après tout.

    ● Seulement, la chute pourrait être bien plus brutale si, par un malheureux hasard, elle apprenait ou comprenait que c'est lui, Galeazzo Ricci, l'amour interdit, la passion cruelle, l'amoureux, l'amant qui redonna un jour le sourire à sa mère, Lousie Gautier, puis causa sa perte en la délaissant...


Galeazzo, Abigail Ricci feat. Ben Barnes
Peut-on définir ce lien en un mot, une appellation ? Je ne crois pas, non. Ce serait une insulte à leur complément, leur relation si fusionnelle. Pour Mary, Galeazzo se transformerait en qui elle veut : ami ou amant, confident, époux ou frère. Un esprit revêche, éthéré, farouche, comme le vent, comme la tempête, un vagabond, qu'elle seule a su dompter. Elle en est éperdument amoureuse (peut-on même définir cela comme de l'amour ?) et serait prête à n'importe quoi, pour lui. On pourrait presque dire qu'elle seule est capable de le supporter, de fermer les yeux sur son caractère misanthrope et sardonique. Galeazzo, quant à lui, adore cette femme à sa façon : silencieusement, passionnément. Il a très peur de ce qu'elle représente, à ses yeux, lui, l'éternel solitaire, vagabond, qui s'était juré de ne jamais, jamais s'attacher. Ni à aucune terre, ni à aucune femme. Aussi, il ne se pardonne pas d'offrir tout son amour timide et maladroit de vampire rustre à Mary, cet être si chétif, qu'il pourrait briser entre deux doigts comme une brindille. Il se déteste d'être prisonnier de cette douceur éphémère qui virevolte dans le vent. Le goût de ses larmes quand tout va mal. La passion dans ses gestes. La couleur de ses prunelles qui le scrutent lui, et pas un autre. Tout l'afflige et le nuit et conspire à le nuire.
Mais au fond, même s'il l'aime passionnément, le temps laisse place à la lassitude, et leur couple n'en a plus pour longtemps, il le devine. On n'empêche pas un vagabond de vagabonder, après tout. Et, quelque part, l'ombre d'une certaine Louise Gautier lui pèse...

Prénom(s) & Nom feat.Célébrité
Relation. Relation. Bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla, bla.
Revenir en haut Aller en bas

It's just me;
Invité
Invité



Parla più piano e nessuno sentira ♪ ▬ G. Ricci [1/1] Vide
MessageSujet: Re: Parla più piano e nessuno sentira ♪ ▬ G. Ricci [1/1] Parla più piano e nessuno sentira ♪ ▬ G. Ricci [1/1] EmptyVen 26 Nov - 21:43

Je suis làà ♥️. Ce scénario déchire, même si il me rappelle Isillie x'). J'espère que j'arriverais à la jouer.
Sauf si tu ne veux pas de moi héhé. Puis-je ? J'ai pris une petite liberté pour le pseudo j'espère que ça ne gêne pas **
tu as promis d'être l'esclave de celui qui prendrait Mary, mwahahahah.
Revenir en haut Aller en bas

It's just me;
Invité
Invité



Parla più piano e nessuno sentira ♪ ▬ G. Ricci [1/1] Vide
MessageSujet: Re: Parla più piano e nessuno sentira ♪ ▬ G. Ricci [1/1] Parla più piano e nessuno sentira ♪ ▬ G. Ricci [1/1] EmptyLun 29 Nov - 10:16

Il te rappelle Isi ? 00' .......... Ah bon x) Pour le caractère, maybe ? Breeef. Moi je suis SÛR que tu arriveras à la jouer =D
Et pas de soucis pour le pseudo, tu fais comme tu veux. x) Donc, tu préfères Euphrasia à Mary ? (ouaaah, le choc xD)
MERCIIIIIIIIIII 465 982 109 fois d'avoir pris mon scena Parla più piano e nessuno sentira ♪ ▬ G. Ricci [1/1] 588303 . Et comme promis, je me fais rongeur-esclave. (Comme si t'avais pas déjà commencé à en profiter, tiens)
Revenir en haut Aller en bas

It's just me;
Invité
Invité



Parla più piano e nessuno sentira ♪ ▬ G. Ricci [1/1] Vide
MessageSujet: Re: Parla più piano e nessuno sentira ♪ ▬ G. Ricci [1/1] Parla più piano e nessuno sentira ♪ ▬ G. Ricci [1/1] EmptyLun 29 Nov - 10:33

    Oui, dans l'histoire et le caractère, mais c'pas grave. Du moment que tu me promets qu'on fera la fanfic héhé **. Oui je profite de mon statut mwahaaa, quoique pour l'instant j'ai rien fait xD.
    Oui je préfère Euphrasia, même si c'est censé être le prénom de ta défunte veuve, Zachary ! Parce que Mary c'est anglais, et si la miss est française... xD. Marie à la rigueur ;p.

    Quand tu mets un chiffre comme ça, Doudou croit que c'est un numéro et me propose de l'appeller 00'. Merci rongesclave d'amûr <3.
Revenir en haut Aller en bas

It's just me;
Invité
Invité



Parla più piano e nessuno sentira ♪ ▬ G. Ricci [1/1] Vide
MessageSujet: Re: Parla più piano e nessuno sentira ♪ ▬ G. Ricci [1/1] Parla più piano e nessuno sentira ♪ ▬ G. Ricci [1/1] EmptyLun 29 Nov - 10:50

Ah, désolé, mais j'ai pas lu la fiche d'Isi ^^" C'est un affreux hasard, alors xD
Non mais Mary, c'est plus classe, quoi T____T Parce que Marie... Enfin bon. Marie, alors ?
Revenir en haut Aller en bas

It's just me;
Contenu sponsorisé



Parla più piano e nessuno sentira ♪ ▬ G. Ricci [1/1] Vide
MessageSujet: Re: Parla più piano e nessuno sentira ♪ ▬ G. Ricci [1/1] Parla più piano e nessuno sentira ♪ ▬ G. Ricci [1/1] Empty

Revenir en haut Aller en bas

Parla più piano e nessuno sentira ♪ ▬ G. Ricci [1/1]

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
YOU'RE THE BEAST IN ME  :: And do you like the blood ? :: I need to drink your blood-